Annick ROUX & Yves UZUREAU
Ces chansons qui sont nées quelque part

Le « Journal et autres carnets inédits » de Brassens a été adapté pour la scène par Jean-Paul Liégeois, son éditeur, sous le titre « Ces chansons qui sont nées quelque part ».

Un DVD de ce spectacle a été enregistré en public au Forum Léo Ferré par Eric Nadot, le producteur de DVD d'artistes tels que Anne Sylvestre, Michèle Bernard, Gérard Morel ou Bernard Joyet.

Voici les premiers commentaires des acheteurs de ce DVD coproduit par notre association:

- Un grand merci à vous et à tous ceux qui ont contribué à l'existence de ce DVD ! Et surtout un grand merci aux artistes ! J'ai rarement ressenti un tel plaisir (et une telle émotion) devant un spectacle consacré à Georges Brassens. Je le dis très sincèrement : c'est peut-être, dans le genre, ce que j'ai vu de plus beau. Yves Uzureau et Annick Roux (que je ne connaissais pas) sont époustouflants de justesse, de simplicité magnifique, de drôlerie, et parfois de profonde émotion, au bord des larmes... Et quel travail sur les chansons ! Orchestration, mise en scène, interprétation... tout est juste, et tout donne une nouvelle jeunesse à des chansons que nous connaissons depuis tant d'années ! Techniquement ce DVD est impeccable.
Alors... je crois que je me le repasserai avec plaisir, les soirs de vague à l'âme... Merci encore. (Claude Albareil)

- C'est avec les mots de La mauvaise réputation qu'Yves Uzureau et Annick Roux "ouvrent le rideau" sur le Journal et autres carnets inédits de Georges Brassens qui bénéficie pour le coup d'une mise en scène théâtrale.
On savoure Le petit cheval, interprété en duo, avec un ralenti sur le dernier couplet, qui sied magistralement au ton tragique du poème de Paul Fort. La narration d'Annick Roux est ponctuée des annotations de Georges sur son ressenti au sujet de la réception du public après chacun de ses récitals. Parfois même, on entend sa voix, par le biais d'extraits d'interviews qui amènent de nouveaux titres comme L'orphelin. Le spectacle d'Yves Uzureau et Annick Roux est un savoureux mélange de chanson et de comédie, nous permettant de redécouvrir un certain nombre de chansons sous d'autres couleurs. Ainsi en est-il de Mourir pour des idées, dont un extrait est interprété, sous forme d'un dialogue entre les deux artistes. De même pour Le Roi, que l'on savoure dans son intégralité.

Yves Uzureau nous dévoile son grand talent de comédien avec une prestation magistrale sur Misogynie à part, dans laquelle le chant laisse la place à la mise en avant de l'expression des sentiments. Annick Roux en fera de même plus tard avec La légion d'honneur. Cupidon s'en fout est un autre moment fort du spectacle, avec ses couplets dits avec le ton juste, tandis que les refrains sont, eux, chantés.
Lorsque vient la Supplique, on se rend compte que l'on n'a pas vu le temps passer. Yves Uzureau entonne les vers de Brassens sur une introduction lente, laissant la place à la mélodie originale qui, sur la coda, s'efface progressivement à la manière de la célèbre interprétation de Avec le temps, que faisait Léo Ferré à la fin de ses concerts... La lumière s'éteint, mais les souvenirs restent ! Encore merci pour cet agréable moment brassénien !
(Sébastien Lesné)

- Après la découverte de ce spectacle, cinq mots me sont venus à l'esprit. Émotion, sincérité, intelligence, humour, qualité. Émotion dégagée par Yves Uzureau et par Annick Roux, artistes talentueux et si complémentaires. Sincérité des deux interprètes qui ne sont pas là par hasard. Intelligence des textes, bien évidemment, mais aussi intelligence des arrangements musicaux et de Annick Roux qui nous offre une lecture très plaisante et agréable. Intelligence, enfin de Yves Uzureau qui sait s'approprier avec bonheur les vers du Sétois. L'humour est présent tout au long du spectacle et notamment à travers l'interprétation hilarante de "Misogynie à part". La qualité, enfin de cette représentation, qui est indéniable et permet à ceux qui ne connaîtraient pas encore Georges Brassens (mais en existe-t-il ?) d'entrer de plain-pied dans son oeuvre, puisque de par son journal, nous sommes, pour ainsi dire conviés non seulement sur la scène mais aussi dans les coulisses brasseniennes. L'interprétation est tantôt grave, tantôt souriante et se révèle être une véritable invitation à la Sagesse. Merci Yves, Merci Annick et bien sûr Merci Georges Brassens !
(Christian Méla)

Durée du DVD : 108 mn

Prix : 17 euros (port compris)

Chèques à libeller à l'ordre d'ADSA et à envoyer à :

Auprès de son arbre
Mairie
47510 Foulayronnes

Coproduction : « Auprès de son arbre » et Airyc (octobre 2016)

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