Christian DURAND
A l’ombre des maris

La quatrième de couverture : « Maxime, narrateur, catholique pratiquant, vit à Nice. Il est assassiné officiellement par un cocu. Sa mère, nymphomane, était catholique et fervente pratiquante. Son père adorait Georges Brassens, "Monsieur Georges", comme il l’appelait. Le père Boular sera le confident de Maxime jusqu'à sa mort. Maxime sombre dans l'alcool à la mort de sa femme. Dieu lui demande, dans un rêve, de sauver les épouses de la médiocrité de leur vie. "Monsieur Georges" lui apparait et le conseille : "À l'ombre des maris mais, cela va sans dire, Pas n'importe lesquels, je les trie, les choisis. Si madame Dupont, d'aventure, m'attire, Il faut que, par surcroît, Dupont me plaise aussi ! … Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, Je suis derrière…".
Pendant trois ans, Maxime enchaine les couples, où cocus et amantes sont tout à la fois victimes et responsables de la dérive de leur vie. Il devient l'ami des maris : un ouvrier, un pharmacien, un policier, un chef de gare, un médecin politicien, un cadre dynamique et ambitieux... Il donne de sa personne, au sens propre comme au figuré, pour ouvrir les yeux de leurs femmes, après leur avoir écarté les cuisses. Il découvre des femmes admirables, prêtes à bouleverser leur quotidien pour exister, et des maris courageux qui comprennent qu'elles méritent mieux que la vie qu'ils leur offrent. »
L’originalité du roman de Christian Durand, une fable autour de l'adultère, sujet cher à Georges Brassens, réside dans la présence imaginaire de GB dans la vie de Maxime, le narrateur, grâce à des phrases piochées dans ses chansons. La belle-famille de l’auteur est sétoise et réside à Bouzigues. Les chansons de Brassens ont toujours fait partie de son quotidien, mais c’est en écrivant ce roman, son second, qu’il a découvert toute l’étendue de son répertoire.
468 pages

Auto-édité
Contact : cdurand83@free.fr

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